Belgique-Mondial 2014: Les diables ont pris le vol pour le Brésil ce matin

Les joueurs de Marc Wilmots se sont envolés
ce matin pour le Brésil

C’est ce mardi matin 10 juin que les Diables se sont envolés pour le Brésil. si on oublie la semaine en effectif réduit suivie par quelques joueurs à Neerpede, cela fait 23 jours que Marc Wilmots a réuni son groupe.

De Genk à Bruxelles, en passant par Stockholm et Knokke, le sélectionneur fédéral a bénéficié d’une première partie de préparation sans gros ennui, à l’exception de la saga du 3e gardien qui a peu de chance d’influencer le tournoi des Diables rouges.

Ce souci comme l’annulation du résultat du match amical contre le Luxembourg, les grêlons qui ont perturbé (46 minutes d’interruption) la répétition générale face à la Tunisie samedi ou la visite de la famille royale dimanche lors du dernier entraînement, ont été soigneusement évacués au rang des anecdotes ce mardi matin lorsque la délégation officielle s’est présentée à Zaventem pour embarquer, dans un avion aménagé spécialement pour l’occasion, le bien nommé vol SN 2014…, en direction de São Paulo.
Les joueurs en ont profité pour se faire photographier à bord de l’appareil qui a décollé du tarmac à 10h45.

Le départ s’est fait dans l’intimité

L’appel de la Fédération belge, qui avait prié les supporters de ne pas se présenter à l’aéroport, a été respecté. Quatorze heures plus tard, après une escale à Dakar pour effectuer le plein de kérosène, les Diables rouges débarqueront à l’aéroport Guarulhos (São Paulo), deux jours après l’Algérie et la Russie mais un avant la Corée du Sud, d’où ils devront encore parcourir plus de soixante kilomètres en car afin de rejoindre le Paradise Golf & Lake Resort de Mogi Das Cruzes.

C’est donc après 2h du matin en Belgique (21h au Brésil puisque le décalage horaire est de cinq heures), sous une température comprise entre 15 et 20 degrés et dans l’obscurité de la nuit brésilienne qui tombe vers 17h30 à cette période, que les Diables découvriront leur quartier général avec l’ambition d’y rester le plus longtemps possible.

[ via lesoir.be ]